Menuisier, ébéniste, chef d’entreprise… et surtout artisan passionné, Mickaël a fondé Artwood Concept pour créer librement, en mêlant savoir-faire traditionnel et outils numériques.
Dans son quotidien, SketchUp est bien plus qu’un logiciel : c’est l’extension naturelle de son imagination. Du dessin à la fabrication, chaque projet naît d’un croquis 3D.
Un parcours sculpté par la passion
CAP ébéniste, Bac pro métiers d’art, tournage sur bois, marqueterie… Très tôt, Mickaël a fait le choix de se former en profondeur. Mais derrière la technicité, c’est surtout l’envie de transformer la matière qui l’anime.
Il démarre dans l’ébénisterie, ce qui lui permet de toucher une clientèle haut de gamme. Mais très vite, il sent qu’il a besoin de liberté, de flexibilité… Il crée alors sa propre entreprise. Aujourd’hui, Artwood Concept, c’est plus de 10 ans d’activité, de projets sur mesure et d’objets uniques qui voyagent parfois très loin.
Apprendre à manier le bois, c’est apprendre à le respecter
Travailler le bois, ce n’est pas juste une question d’habileté : il faut maîtriser les machines, anticiper les risques, connaître les matériaux. Mickaël insiste : impossible de s’improviser menuisier sans formation, que ce soit à l’école ou sur le terrain.
Son conseil : bricoler chez soi, travailler pour d’autres artisans, être curieux. Le métier s’apprend le jour… et le soir aussi.
Ce qui fait la différence ? La passion, la capacité à s’investir, à aller plus loin que le simple objectif de “gagner sa vie”.
Un quotidien qui ne se copie jamais
Aucune journée ne se ressemble pour Mickaël.
Parfois il pose lui-même ses ouvrages. Parfois, il collabore avec d’autres artisans. D’autres jours encore, il est à l’atelier, en tête à tête avec ses pièces.
Mais être artisan indépendant, ce n’est pas seulement créer. C’est aussi gérer une entreprise, développer des projets, anticiper, vendre, encadrer. Un second métier, exigeant, mais qu’il a choisi pour rester libre.
Et parmi ses plus belles réalisations : chaque année, il conçoit le Trophée Lumière remis à des réalisateurs de renom. Oui, Tarantino en possède un.
SketchUp, le premier outil à sortir de la caisse
Avant les vis, avant les planches, il y a SketchUp.
Mickaël l’utilise systématiquement pour concevoir ses projets. C’est sur ce logiciel que tout prend forme, que les idées se posent, que les clients peuvent valider.
Il a tout appris en autodidacte, grâce notamment à la chaîne YouTube d’Adebeo. Aujourd’hui, il rêve d’aller plus loin, avec une formation poussée, orientée sur son métier.
Sa méthode :
- Un fichier SketchUp pour le projet complet
- Un fichier pour les pièces optimisées (avec export DXF, fiches de débit, nomenclatures)
- data-end= »3413″>Un fichier pour le projet éclaté (utilisé à l’atelier pour la découpe manuelle et la recherche d’angles)
Le numérique comme allié de la créativité… et de la sécurité
En vrai pro, Mickaël sait combien le travail manuel peut être risqué. Mais avec des outils comme SketchUp, il anticipe chaque geste, chaque assemblage, chaque coupe. Résultat : pas d’improvisation dangereuse. Juste de la rigueur, et de la créativité bien canalisée.
Son outil préféré ? La commande numérique, dont il suit les évolutions avec passion.
Un logiciel sans limites pour un métier sans routine
Ce que Mickaël aime le plus dans SketchUp ? Ce n’est pas sectorisé. On peut tout imaginer.
Des meubles, des agencements, des trophées, des pièces techniques… rien n’est figé. SketchUp est une boîte à outils sans fond. Chaque artisan peut y trouver sa propre manière de travailler, d’innover, de créer.
Entre tradition artisanale et conception numérique, Mickaël incarne une nouvelle génération d’artisans connectés. Sa recette :
- De la passion
- De la technique
- Et un logiciel 3D nommé SketchUp
Découvrez son retour d’expérience :